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56 milliards d’euros « en nage », la France perd gros.

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Scott Morrison, Premier ministre australien n’a pas mâché ses mots en rompant le contrat ce jeudi 16 septembre. Le « contrat du siècle » devait n’est qu’un petit coup de pouce pour l’industrie navale française.

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Mardi 20 décembre 2016, La France avait signé un contrat record avec l’Australie. Ce contrat avait pour finalité 12 sous-marins de type Barracuda. Le « contrat du siècle » devait n’être qu’un petit coup de pouce pour l’industrie navale française. Scott Morrison, Premier ministre australien n’a pas mâché ses mots en rompant le contrat ce jeudi 16 septembre.

En effet, la moitié de la somme du contrat devait revenir aux entreprises françaises grâce à sa conception dans leurs locaux. Sans compter le système d’armes et de combat qui lui, devait se dérouler de l’autre côté de l’océan par les États-Unis.

« Il devait être développé à partir du modèle de SNA Barracuda, mais doté d’une propulsion classique diesel-électrique et non nucléaire. »

Geoconfluences

En outre, cette annonce n’a pas été bien accueillie pour le « Naval Group » qui avait mis 300 ingénieurs, 500 salariés sur ce contrat si colossal.  

Après l’annonce du Premier ministre australien a eu lieu quelques conférences en vigueur. Bien entendu, la négociation n’a pas été rendue publique entre les trois dirigeant du G7 en Cornouailles. S’accompagne d’une nouvelle concernant un « partenariat » dit de sécurité entre Washington, Londres et Canberra : l’AUUKUS.

Pour plusieurs de la gente politique, cette alliance n’a pas d’autres visées que la lutte contre la Chine dans l’espace indo-pacifique. Une nouvelle ère stratégique, encore méconnue des sociétés, définie comme « le tabou géostratégique ». À savoir, les équipements nucléaires, les surveillances maritimes, la diffusion des SNA en rapport avec l’exportation…

La France se voit retirée d’un des plus gros contrats entre pays

Avec un coup dans le dos aussi impensable, la France voit les enjeux de celui-ci disparaître sous les océans. Le but était de développer un partenariat avec l’Australie. Elle est connue pour être la plus imposante et importante pièce du pacifique sud. « La France devait doter l’Australie de sous-marins Barracuda à propulsion diesel-électrique pour un montant de 34 milliards d’euros, engageant Naval Group sur une durée de 25 ans », d’après latribune. Par ailleurs, la trame diplomatique, stratégique et militaire français dans un espace au cœur de toutes les convoitises.

D’après certains médias, l’Australie se tournerait directement vers les technologies du géant Américain et du Royaume-Uni. “Ce n’est pas un changement d’avis, c’est un changement de besoin”, a déclaré Scott Morrison. Un choix qui s’inscrit dans une nouvelle alliance de sécurité entre les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie dans la zone indopacifique face à la Chine ».

Par ailleurs, la diplomatie n’a pas dit son dernier mot. Joe Biden a cependant assuré mercredi que les États-Unis voulaient « travailler étroitement » avec Paris. En conclusion, la France n’a pas été, pour l’heure, écartée de toute décision stratégique même après le communiqué entre les ministères de la Défense et des Affaires étrangères.

Une “décision regrettable” stipulant que celle-ci est “contraire à la lettre et à l’esprit de la coopération qui prévalait entre la France et l’Australie”.

franceinfos

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