Nommé « Saj : la galette libanaise », son comptoir propose un service de livraison et de ventes à emporter de man’ouché. Comptez environ 8€ pour une authentique galette, accompagnée d’un large choix de mezzés : houmous, labneh, baba ganoush, kebbeh…
Quant aux desserts, ils sont signés Julien Noray et permettent ainsi la création d’un doux mélange de saveurs entre la cuisine libanaise et la pâtisserie française.
Un parcours inspirant
Alan Geaam c’est aussi ça, un parcours peu commun, sortant des sentiers battus. Il né en janvier 1974 au Libéria, puis, il rejoint le Liban quelques années plus tard où il grandit dans la ville de Tripoli. Il hérite de la passion de la cuisine de sa mère, il découvre par ailleurs la cuisine française au travers d’émissions diffusées à la télévision.
C’est en 1999, qu’il arrive à Paris avec un simple visa de 7 jours et 200 francs. Pendant une semaine, il passe ses nuits dans les rues de la capitale avant de trouver du travail. Il s’essaie à la maçonnerie et fait la plonge le soir chez un traiteur libanais. Le chef du restaurant se blesse et Alan Geaam prend alors sa place.
En 2007, il devient chef propriétaire de l’Auberge Nicolas Flamel et quelques années plus tard, en 2015, il ouvre un bistrot au cœur des halles de Paris. Depuis, le chef possède plusieurs restaurants parisiens. En 2018, il devient chef étoilé en obtenant une première étoile au Guide Michelin pour son restaurant « Alan Geaam ».
Sâj – la galette libanaise : https://saj.bonkdo.com/fr/clickandcollect/
51, rue de Montmorency, 75003 Paris
Source de l’image mise en avant : http://foodandsens.com/f-and-s-live/alan-geaam-ouvre-qasti-en-fevrier-interview-du-chef-en-avant-premiere-pour-fs/
