Pour nos entrepreneurs et experts du milieu, une réforme devrait être mis en place sous forme de critères de sélection des startups du Next40 et du French Tech 120, qui incarnent « le meilleur » de la « startup nation » … mais uniquement sur des critères financiers. La tribune avait publié l’appel du « Climate Act » afin de mettre en lumière une réclamation « trop peu contraignante » pour les startups.
Pour comprendre un peu mieux de quoi on parle…
Le « French Tech Next40 » est une sélection de 40 startups françaises. Leurs points communs ? Un très fort potentiel allié à l’ambition de devenir rapidement des leaders technologiques mondiaux. (Bpifrance)
La deuxième référence pour les startups est sans aucun doute le French Tech Next 120. Ce programme d’accompagnement est dédié aux “scale-ups“ françaises en capacité de devenir des leaders technologiques de rang mondial. Sous des critères de performances économiques, elles ont des opportunités pour avoir des visions sur l’international.
L’aspect “engagé“ au vu de la transition écologique, des règlementations appelées “Climate Act“ ont vu le jour. Dans un but purement mondial afin de réduire leur empreinte carbone. Cet engagement leur permet de se focaliser sur leur hyper croissance alors que sa place dans notre vie ne cesse de s’accroitre. Une incompatibilité qui crispe certains militants écologistes.
Au-delà de l’aspect ambitieux de chacune, elles ont pour objectifs de rentrer dans les critères d’accès au Next40. Dans un premier temps, elles doivent avoir une valorisation supérieure au milliard d’euros. Ces pépites de la French Tech bénéficieront d’un accompagnement dédié par les administrations et services publics, comme Bpifrance ou Business France, explique Bpifrance. De plus, il faut avoir réalisé l’une des plus grandes levées de fonds des trois dernières années. Un challenge coûteux pour beaucoup de startups comme les “Licornes“ vestiaires Collective, Backmarket.